GENRE : Aventure / Jeunesse
EDITION : Nathan
NOMBRES DE PAGES : 580
PUBLIE EN : 1999 - 2000 (USA)
DATE DE L'EDITION : Mars 2014
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
EDITION : Nathan
NOMBRES DE PAGES : 580
PUBLIE EN : 1999 - 2000 (USA)
DATE DE L'EDITION : Mars 2014
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
AUTEUR : Lemony Snicket
TRADUCTION : Rose-Marie Vassalo
TITRE ORIGINAL :A series of Unfortunate Events #2
PRIX : 18€90
TRADUCTION : Rose-Marie Vassalo
TITRE ORIGINAL :A series of Unfortunate Events #2
PRIX : 18€90
CHRONIQUE PRECEDENTE
" 3 ORPHELINS - 1 HÉRITAGE CONSIDÉRABLE
1 ANCIEN TUTEUR DÉTESTABLE - 1 ACCIDENT REGRETTABLE
1 PROVISEUR LAMENTABLE - 1 ASCENSEUR ABOMINABLE "
1 ANCIEN TUTEUR DÉTESTABLE - 1 ACCIDENT REGRETTABLE
1 PROVISEUR LAMENTABLE - 1 ASCENSEUR ABOMINABLE "
Intégrale comportant :
4. Cauchemar à la scierie
5. Piège au collège
6. Ascenseur pour la peur
5. Piège au collège
6. Ascenseur pour la peur
Bonjour,
mes créatures !
Aujourd’hui,
je viens vous proposer mon avis sur l’intégrale 2 des « Désastreuses
aventures des orphelins Baudelaire ». Je n’étais pas réellement motivée à
écrire ma chronique, car après avoir lu la première intégrale, j’ai trouvé la
trame de ces trois nouvelles histoires identiques aux précédents.
Nouveau
tome, nouveaux problèmes pour les orphelins. Dans « Cauchemar à la Scierie »,
ils découvrent un nouveau tuteur dont l’identité reste totalement secrète. Ils
sont considérés comme des employés par le patron. Évidemment, les péripéties
arrivent très vites notamment avec les plans diaboliques du comte Olaf.
Dans « Piège au collège », les enfants doivent faire face à un épouvantable directeur d’orphelinat et leur ennemi de toujours. Contrairement aux tomes précédents, il y a un nouveau souffle avec l’arrivée de leurs amis les Beauxdraps.
Puis nous terminons avec « Ascenseur pour la peur », ils arrivent dans un étrange quartier où leurs nouveaux tuteurs les « Eschemizerre ». Un couple qui reste aux aguets de la mode et dont la richesse aurait pu accueillir les orphelins bien avant.
Dans « Piège au collège », les enfants doivent faire face à un épouvantable directeur d’orphelinat et leur ennemi de toujours. Contrairement aux tomes précédents, il y a un nouveau souffle avec l’arrivée de leurs amis les Beauxdraps.
Puis nous terminons avec « Ascenseur pour la peur », ils arrivent dans un étrange quartier où leurs nouveaux tuteurs les « Eschemizerre ». Un couple qui reste aux aguets de la mode et dont la richesse aurait pu accueillir les orphelins bien avant.
Il y
a évidemment des évolutions concernant les personnages principaux. Dans « Cauchemar
à la scierie », on retrouve un changement de rôle très intéressant entre Violette et Klaus. Ils doivent se mettre dans la peau de l’autre pour
pouvoir se sortir du piège de leur ennemi.
Chacun des enfants Baudelaire prend petit à petit un peu plus confiance en eux. Même Prunille fait preuve d’un immense courage dans « Ascenseur pour la peur ». Je dois avouer qu’elle a toujours été mon personnage favori, mais à la fin de ce tome cela confirme mon affection pour elle. Elle est peut-être la plus jeune, mais elle n’a rien à envier à ces aînées.
Nous découvrons aussi de nouveaux protagonistes avec Isadora et Duncan Beauxdraps. Tout comme les Baudelaire, ils ont perdu leurs parents et leur frère dans un tragique accident. Ils ont donc atterri à l’orphelinat « J.Alfred Prufrock ». C’est naturellement qu’ils se lient d’amitié avec les Baudelaire, les aidant du mieux qu’ils peuvent. Seulement, ils vont subir les affres de la tragédie de la vie des Baudelaire.
Le comte Olaf toujours omniprésent (qui pourrait en douter ?) mène comme à son habitude des plans fous pour récupérer les orphelins et leur héritage. Il devient plus de plus en plus fourbe pour pouvoir arriver à ces fins !
Chacun des enfants Baudelaire prend petit à petit un peu plus confiance en eux. Même Prunille fait preuve d’un immense courage dans « Ascenseur pour la peur ». Je dois avouer qu’elle a toujours été mon personnage favori, mais à la fin de ce tome cela confirme mon affection pour elle. Elle est peut-être la plus jeune, mais elle n’a rien à envier à ces aînées.
Nous découvrons aussi de nouveaux protagonistes avec Isadora et Duncan Beauxdraps. Tout comme les Baudelaire, ils ont perdu leurs parents et leur frère dans un tragique accident. Ils ont donc atterri à l’orphelinat « J.Alfred Prufrock ». C’est naturellement qu’ils se lient d’amitié avec les Baudelaire, les aidant du mieux qu’ils peuvent. Seulement, ils vont subir les affres de la tragédie de la vie des Baudelaire.
Le comte Olaf toujours omniprésent (qui pourrait en douter ?) mène comme à son habitude des plans fous pour récupérer les orphelins et leur héritage. Il devient plus de plus en plus fourbe pour pouvoir arriver à ces fins !
Au
départ, je me demandais pourquoi seuls les enfants savaient toujours reconnaître
le comte Olaf. Oui, le bonhomme n’est pas très malin, il utilise constamment la
même technique : des déguisements ridicules, puis il établit une connexion
avec le tuteur légal et kidnappe les enfants. Les adultes dans cette histoire ne
remarquent jamais rien (ne parlons même pas de ce pauvre et grotesque M. Poe).
C’est là que l’auteur est assez avisé ! Les adultes deviennent ainsi naïfs,
tandis que les enfants sont très perspicaces. Les rôles s’inversent pour accaparer
toute notre attention.
Cet univers loufoque contribue à enrichir ce monde enfantin que sont les adultes présents. Ils ne s’intéressent qu’à des choses triviales, plutôt qu’au bien-être des enfants. Ils sont obligés de vivre seuls dans un monde qui les dépasse.
L’auteur commence également « enfin » à instiller des éléments importants sur la vie du comte Olaf et le mystère de ce tatouage dont le symbole apparaît toujours autour des Baudelaire. D’ailleurs, les Beauxdraps avaient des choses capitales à révéler à leurs amis concernant le passé de l’effroyable individu.
Cet univers loufoque contribue à enrichir ce monde enfantin que sont les adultes présents. Ils ne s’intéressent qu’à des choses triviales, plutôt qu’au bien-être des enfants. Ils sont obligés de vivre seuls dans un monde qui les dépasse.
L’auteur commence également « enfin » à instiller des éléments importants sur la vie du comte Olaf et le mystère de ce tatouage dont le symbole apparaît toujours autour des Baudelaire. D’ailleurs, les Beauxdraps avaient des choses capitales à révéler à leurs amis concernant le passé de l’effroyable individu.
En
conclusion, même si le schéma narratif est répétitif comme les tomes
précédents, nous découvrons de nouveaux personnages et des éléments intéressants
qui viennent enrichir l’histoire. De plus, la stylistique de l’auteur reste
très prenante. Certes, le suspens est totalement absent du fait que Lemony
Snicket raconte les choses avant qu’elles ne se produisent, mais cela reste
agréable à lire.
GLOBALE : 7 / 10
ÉCRITURE : 8 / 10
SCENARIO : 7 / 10
PERSONNAGES : 10 / 10
SUSPENS : 4 / 10
ÉCRITURE : 8 / 10
SCENARIO : 7 / 10
PERSONNAGES : 10 / 10
SUSPENS : 4 / 10
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