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mardi 4 septembre 2018

Bookhaul - Juin / Juillet / Août 2018






Coucou mes créatures ! 

Aujourd'hui, je viens vous poster mes "book haul" de l'été.
Entre mon anniversaire en juillet et mes quelques petits achats, je reste malgré tout assez sage depuis un certain temps 😂

Je vous laisse découvrir !


JUIN


  • Card Captor Sakura Deluxe Edition 20th Anniversary #3  de CLAMP (Pika) 
  • Kasane, la voleuse de visage #10 de Daruma Matsuura (Ki-oon)
  • Kasane, la voleuse de visage #11 de Daruma Matsuura (Ki-oon)

JUILLET

Pour ce mois-ci, il y a mes achats, ainsi que les cadeaux qu'on m'a offert lors de mon anniversaire 


  • Card Captor Sakura Deluxe Edition 20th Anniversary #4 de CLAMP (Pika)
  • Card Captor Sakura Deluxe Edition 20th Anniversary #5 de CLAMP (Pika)
  • Card Captor Sakura - Clear Card Arc #3 de CLAMP (Pika)
  • Deadlock #1 de Saki Aida & Yuh Takashina (Taifu Comics)
  • La Cage de la mante religieuse #1 de Delico Psyche (Editions IDP)


  • In These Words #1 - Edition Limitée de Guilt Pleasure (Taifu Comics)
  • In These Words #2 - Edition Limitée de Guilt Pleasure (Taifu Comics)
  • In These Words #3 - Edition Limitée de Guilt Pleasure (Taifu Comics)




  • La Naissance des Dieux de Clotilde Bruneau, D.Dim & Frederico Santagi (Glénat)
  • Prométhée et la boîte de Pandore de Clotilde Bruneau & Giuseppe Baiguera (Glénat)
  • Coraline de Neil Gaiman (Albin Michel)
  • La Mythologie Égyptienne de Nadine Guilhou & Janice Peyré (Marabout)


AOUT


  • Les milles et une nuits de "Anonyme" & illustré par Léon Carré (Éditions du Chêne)
  • Le Seigneur des anneaux, intégrale de J.R.R Tolkien et illustré par Alan Lee (France Loisirs)
  • Hellraiser de Clive Barker (Folio)




Et voilà donc la longue liste de mes acquisitions !
Et vous ? Avez-vous succomber à l'appel des livres durant l'été ?







lundi 3 septembre 2018

The Walking Dead #3 - La Chute du Gouverneur


GENRE : Science-Fiction / Horreur / Post-Apocalypse
ÉDITION : Le livre de poche
FORMAT : Papier

NOMBRES DE PAGES : 286
DATE DE PUBLICATION : 2013 (USA)
DATE DE L'EDITION : Juin 2014

LANGUE D'ORIGINE : Anglais
TITRE ORIGINAL : The Walking Dead - The Fall of the Governor

AUTEUR : Jay Bonansinga & Robert Kirkman
TRADUCTEUR : Pascal Loubet

PRIX : 8€10 (papier) / 7€99 (numérique)



CHRONIQUES PRECEDENTES

Couverture The Walking Dead (roman), tome 1 : L'Ascension du Gouverneur  http://skoldasybooks.blogspot.com/2017/11/the-walking-dead-2-la-route-de-woodbury.html
 

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" Woodbury, petite ville fortifiée qui résiste à l’invasion zombie… Le Gouverneur, son chef autoproclamé, commence à montrer des signes de pure démence, et ses actions plongent les habitants dans les ténèbres et la terreur. Woodbury a succombé à l’enfer. Au milieu de ce cauchemar post-apocalyptique, Rick, Michonne et Glenn, personnages phares de la bande dessinée éponyme, font enfin leur entrée. Les fans de la série The Walking Dead auront la surprise de découvrir ces trois héros sous un jour nouveau. "



Hello mes créatures !

Je vous parle aujourd’hui du troisième roman de Jay Bonansinga et Robert Kirkman issu de la franchise « Walking Dead » avec le troisième tome : « La chute du Gouverneur ».
Il est conseillé de lire ce roman en parallèle des comics tomes 5 et 6. 

Nous sommes au moment précis où à proximité de la prison Rick et Glenn aperçoivent un hélicoptère qui se crashe à quelques kilomètres. Ils décident alors de se rendre sur les lieux, mais quelqu’un est arrivé avant eux.
C’est à ce moment que l’on bascule vers la communauté de Woodbury. Lilly Caul se retrouve sur la route avec Martinez et d’autres membres de leur groupe. Ils récupèrent ainsi le pilote pour l’emmener avec eux.
À la suite de sa rébellion passée, Lilly est surveillée par le Gouverneur et sa clique. Pourtant, petit à petit elle commence à se faire à l’idée que les méthodes peu orthodoxes de Philip Blake ne peuvent être que bénéfiques pour leur avenir.
Seulement, elle ignore les atrocités que ce dernier est occupé à commettre derrière son dos. En effet, Rick, Glenn et Michonne ont suivi la piste jusqu’à Woodbury se retrouvant ainsi à la merci du prédateur. 

À travers le roman, nous avons la sombre vision du Gouverneur, le plaisir qu’il prend à chaque fois qu’il torture un autre être humain. On le sent toujours voguer dans la folie, se perdant entre sa véritable identité et le souvenir de son frère.
Concernant Lilly, je l’ai trouvée de plus en plus exaspérante. Elle se comporte comme une gamine capricieuse envers Austin. Je ne vais pas vous spoiler, mais accuser son partenaire d’une faute qu’il n’est pas seul d’avoir commise m’a fait sortir de mes gonds. Elle adore se plaindre pour des vétilles...
Finalement, les scènes les plus intéressantes sont celles du Gouverneur et Martinez. On peut y voir les machinations qu’ils établissent pour atteindre leur but. 

La stylistique est égale à elle-même, simple et assez fade. C’est le scénario qui fait tout l’intérêt du roman. Il y a un grand manque de description sur les environnements où évoluent les protagonistes, la plupart des personnages sont assez transparents malheureusement.
Avec si peu d’éléments positifs, j’ai donc très peu de choses à dire sur ce livre. Je continue à lire les romans, car je suis vraiment fan de l’univers.

Je terminerai en disant simplement que « La chute du Gouverneur » est malgré tout intéressante pour mieux comprendre le personnage énigmatique de Philip Blake. Nous avons ici sa propre version de la visite de Rick et ses amis à Woodbury. Je le conseille pour les fans des comics !





GLOBALE : 6 / 10
ECRITURE : 6 / 10
SCENARIO : 7 / 10
PERSONNAGES : 6 / 10
SUSPENS : 6 / 10







samedi 1 septembre 2018

Into the wild





GENRE : Biographie / Enquête / Nature Writing
ÉDITION : 10/18
FORMAT : Papier

NOMBRES DE PAGES : 285
DATE DE PUBLICATION : 1997 (USA)
DATE DE L'EDITION : 2008

LANGUE D'ORIGINE : Anglais
TITRE ORIGINAL : Into The Wild

AUTEUR : Jon Krakauer
TRADUCTEUR : Christian Molinier

PRIX : 7€50 (papier) / 7€06 (numérique)




Jon Krakauer (né le à Brookline, Massachusetts) est un écrivain et alpiniste américain, employé par le magazine Outside et qui vit actuellement à Seattle.

Jon Krakauer a publié de nombreux articles dans les plus grands mensuels comme National Geographic et Rolling Stone. Sa notoriété provient notamment de son récit intitulé Tragédie à l'Everest (Into Thin Air), qui relate, selon son point de vue, les événements tragiques qui se sont produits lors de son ascension de l'Everest en mai 1996. Cette expédition s'est terminée par la mort de huit de ses participants.
Il est également l'auteur de Voyage au bout de la solitude sur le destin de Christopher McCandless, un jeune aventurier américain qui mourra d'épuisement après une intoxication par des plantes, en Alaska. En 2007, Sean Penn adapte le livre au cinéma : Into The Wild.
 

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" Toujours plus loin. Toujours plus seul. Inspiré par ses lectures de Tolstoï et de Thoreau, Christopher McCandless a tout sacrifié à son idéal de pureté et de nature. Après deux années d'errance sur les routes du Sud et de l'Ouest américain, il rencontre son destin (à vingt-quatre ans) au coeur des forêts de l'Alaska. Un parcours telle une étoile filante dans la nuit froide du Grand Nord."




Coucou mes créatures ! 



Après des absences à répétitions, il était temps de publier à nouveau des chroniques livresques.


Dieu sait que j’en ai plusieurs en retard. J’ai un peu honte de moi…
Bref, je vais tenter de me faire pardonner en parlant aujourd’hui du roman de Jon Krakauer « Into the wild ». J’avais envie de sortir de ma zone de confort avec cette lecture et je dois vous avouer que je n’ai pas regretté une seule seconde. L’enquête du journaliste pour reconstituer les dernières années de la vie de Christopher McCandless fut totalement bouleversante. 

Ce jeune homme d’une vingtaine d’années a entièrement abandonné sa vie au sein d’une société, où il se sentait piégé. Chris était un jeune homme marginal, ne désirant aucunement participer au capitalisme de son pays. Il avait besoin de se retrouver au milieu de la nature pour vivre pleinement sa vie, sans contraintes. Il a été inspiré par de nombreux romans pour mener sa quête à bien. La liberté de Chris devait se trouver loin de toute civilisation. Il a ainsi abandonné sa famille et ses amis pour entamer une renaissance.


Au fil des pages, on sent que le journaliste a essayé au mieux de rechercher qui était réellement le jeune homme. On comprend que malgré cette totale désertion de son passé, il est resté un homme social et prévenant. Il a rencontré de nombreuses personnes, dont certaines sont devenues des amis et auxquels il donnait des nouvelles dans ses lettres.
Chris a ainsi voyagé dans l’ouest des États-Unis pendant presque trois années. Son ultime but était de se rendre en Alaska. Il s’est alors préparé pendant plusieurs mois pour rendre son voyage possible. Mais la nature reste une force dont on ne peut jamais évaluer les risques…

J’ai beaucoup aimé l’investigation du journaliste. Il a su trouver les grands trajets du jeune homme, discutant avec ceux qui avaient pu le côtoyer durant ses dernières années. On ressent dans la démarche de Jon Krakauer qu’il essaie de rendre une certaine crédibilité à Chris McCandless, qui a été dénigré par la plupart des personnes lorsqu’il avait publié un article dans le magazine «Outside». La plupart des lecteurs le prenaient pour un fou ou un simple d’esprit, mais grâce à ce livre on se rend compte que Chris était à l’opposé. Pour cela, le journaliste a su parfaitement retranscrire ce qu’il a pu ressentir lors de son voyage, notamment grâce à de nombreuses histoires similaires au cours des dernières années. Nous découvrons un jeune homme intelligent et sensible qui pour trouver le véritable bonheur ne voulait que dépendre de la nature environnante. La solitude n’était donc pas pour lui un signe de folie, mais plutôt un signe d’une profonde connaissance de l’univers. 

En conclusion, « Into the wild » est une ode à la vie. Une histoire vraie et bouleversante qui nous fait réfléchir au sens de la vie. Nos petites préoccupations ordinaires sont tellement centrées sur notre société actuelle, que de vivre en marge de celle-ci, au milieu de la nature sauvage nous semble totalement excentrique. De mon point de vue, Chris McCandless était un homme courageux qui a abandonné sa vie pour s’en construire une nouvelle bien plus riche avec pour seul témoin, la richesse sauvage. 





 " Il y a tant de gens qui ne sont pas heureux et qui, pourtant, ne prendront pas l'initiative de changer leur situation parce qu'ils sont conditionnés à vivre dans la sécurité, le conformisme et le conservatisme, toutes choses qui semblent apporter la paix de l'esprit, mais rien n'est plus nuisible à l'esprit aventureux d'un homme qu'un avenir assuré. Le noyau central de l'esprit vivant d'un homme, c'est sa passion pour l'aventure. Le joie de vivre vient de nos expériences nouvelles et donc il n'y a pas de plus grande joie qu'un horizon éternellement changeant, qu'un soleil chaque jour nouveau et différent. Si tu veux obtenir plus de la vie, Ron, il faut perdre ton inclination à la sécurité monotone et adopter un mode de vie désordonné qui dans un premier temps te paraîtra  insensé. Mais une fois que tu seras habitué à une telle vie, tu verras sa véritable signification et son incroyable beauté. "



GLOBALE : 8,5 / 10
ÉCRITURE : 9 / 10
SCENARIO : 9 / 10
PERSONNAGES : 9 / 10
SUSPENS : 7 / 10
 
 









jeudi 7 juin 2018

La forme de l'eau





GENRE : Fantastique / Romance
ÉDITION : BragelonneF
FORMAT : Papier

NOMBRES DE PAGES : 384
DATE DE PUBLICATION : 27 février 2018 (USA)
DATE DE L'EDITION : 7 mars 2018

LANGUE D'ORIGINE : Anglais
TITRE ORIGINAL : The shape of water

AUTEUR : Guillermo Del Toro & Daniel Kraus
TRADUCTEUR : Isabelle Troin

PRIX : 25€ (papier) / 12€99 (numérique)






Guillermo del Toro est mondialement connu pour ses films acclamés par la critique tels que Le Labyrinthe de Pan, Hellboy et Pacific Rim, ainsi que pour sa trilogie de romans La Lignée









" Nous sommes en 1963, et Elisa Esposito survit tant bien que mal. Née muette, abandonnée par sa famille, elle travaille de nuit comme femme de ménage au Centre Occam de recherche aérospatiale.
Un soir, elle surprend quelque chose qu’elle n’était pas censée voir : un homme amphibie prisonnier d’une cuve, qui doit être étudié par les scientifiques pour faire avancer la course à l’espace de la Guerre Froide. La créature est terrifiante, mais aussi magnifique – elle fascine Elisa. Utilisant la langue des signes, celle-ci établit une communication. Bientôt, la créature devient sa seule raison de vivre.


Pendant ce temps, Richard Strickland, le militaire brutal qui a capturé la créature en Amazonie, envisage de la disséquer avant que les Russes ne tentent de s’en emparer.

Elisa doit tout risquer pour sauver la créature. Avec l’aide d’une collègue qui souffre du racisme ambiant et d’un voisin malchanceux qui n’a plus rien à perdre, elle met au point un plan d’évasion. Mais Strickland ne l’entend pas de cette oreille. Et les Russes sont bel et bien sur l’affaire…"





Mon avis est basé sur le livre, je n’ai malheureusement pas encore eu le temps de regarder le film. « La forme de l’eau » est un roman sombre et violent, mais qui démontre la plus belle chose au monde : l’amour. Au départ, je fus très sceptique d’un tel scénario, mais Guillermo Del Toro fait preuve avec ce roman d’une grande acuité émotionnelle. Ce livre m’a bouleversé, j’ai été émerveillé par cette histoire d’amour atypique. 


Le récit débute sur la mission du militaire Richard Strickland. Il est envoyé en Amazonie pour trouver une créature amphibie mythique du nom de « Deus Branquia ». Le soldat va commettre de nombreuses atrocités pour arriver à ses fins.
Elisa Esposito est une jeune femme muette qui travaille en tant que femme de ménage de nuit dans le centre d’OCCAM avec son amie Zelda. Quand la créature  se trouvera au centre, Elisa va tomber sur elle par hasard, sa vie va alors irrémédiablement changer. Elle va être fascinée par sa beauté à tel point qu’elle fera tout pour la sauver des militaires.


Tout d’abord, il faut bien signifier ici que l’histoire est sombre et violente. Il faut avoir le cœur bien accroché tout le long du récit.
Guillermo Del Toro n’a pas seulement écrit une romance, mais il évoque dans cette fiction des thèmes importants. Il a choisi des sujets qui sont toujours omniprésents dans notre société aujourd’hui : le handicap, l’homosexualité, le racisme et les violences conjugales.
Chaque protagoniste porte l’étendard d’une personne jugée « en marge de notre société », car elle ne correspond pas à l’idéologie sociétale. 


Elisa est une femme forte et courageuse. Malgré son enfance difficile et son handicap au quotidien, elle arrive à affronter les épreuves qui recouvrent son chemin de vie. Pour la soutenir moralement, il y a son voisin Giles et sa collègue/amie Zelda.
Bien qu’elle vive dans un studio miteux, elle garde le sourire, trouvant du réconfort en achetant des chaussures.
Elisa a l’esprit vif, un caractère calme et attentionné envers ses amis. Elle a une grande imagination, rêvant de vivre une histoire palpitante. Quand elle croisera le « Deus Branquia », elle va découvrir un mystère et un destin qu’elle était loin d’imaginer. On ressent sa fascination, cherchant le meilleur moyen de communiquer avec la créature. Elle lui apprendra le langage des signes, elle va devenir pour la créature un monde de douceur infini. 


Zelda est une Afro-Américaine qui doit subir au quotidien le racisme des blancs. C’est une femme avec un profond sens de l’humour. Elle n’hésite pas à se donner le meilleur d’elle-même dans son travail. Son amitié avec Elisa est bien plus importante qu’elle ne l’imaginait au départ. Elles se comprennent et se soutiennent sans faille. C'est une relation basée sur la confiance, seulement le mari de Zelda va venir émettre quelques doutes sur leur lien d’amitié.


Giles quant à lui est un homme intelligent et profondément bon. C’est un peintre qui tente de survivre de son art dans la publicité. Il a vécu toute sa vie dans le mensonge en reniant son homosexualité, la vivant comme une honte. (Surtout dans les années 60, où cela était encore tabou). Sa relation avec Elisa est également touchante, la protégeant un peu comme le père qu’elle n’a pas pu avoir dans son enfance. Il n’hésitera pas à franchir tous les dangers pour elle. 


Guillermo Del Toro a créé une œuvre bouleversante. Tous ces personnages à l’histoire torturée viennent remplir ce roman d’émotions. La noirceur est nécessaire pour pouvoir mettre en évidence cette romance atypique, pour sublimer cette créature mythique. Ses choix fonctionnent à merveille ! Nous sommes pris dans ce tourbillon, ayant parfois le souffle coupé face à ce déchaînement de haine, de violence. Les larmes ne sont jamais loin quand Elisa et le « Deus Branquia » sont réunis. On a la sensation d'observer un tableau aquatique somptueux !
J’ai vraiment hâte de découvrir le film pour voir si mes émotions seront tout aussi intenses. 


En conclusion, « La Forme de l’eau » est un hymne à l’amour et à la tolérance face aux esprits étroits.  C'est l'histoire d'un destin tragique qui se transforme petit à petit en un chemin vers le bonheur. Si vous n’avez pas encore lu ce roman, je vous le conseille vivement, ce fut un véritable coup de cœur pour moi. 






GLOBALE : 9,5/10
ECRITURE : 9/10
SCENARIO : 10/10
PERSONNAGES : 9/10
SUSPENS : 10/10



COUP DE COEUR !