GENRE : Fantastique
NOMBRES DE PAGES : 799
PUBLICATION : 1986
DATE DE L’ÉDITION : Aout 2017
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
AUTEUR : Stephen King
NOMBRES DE PAGES : 799
PUBLICATION : 1986
DATE DE L’ÉDITION : Aout 2017
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
AUTEUR : Stephen King
TITRE ORIGINAL : It
TRADUCTEUR : William Desmond
PRIX : 8€90 (papier)
PRIX : 8€90 (papier)
Stephen King est un écrivain américain né le à Portland (Maine).
Il publie son premier roman en 1974 et devient rapidement célèbre pour ses contributions dans le domaine de l'horreur mais écrit également des livres relevant d'autres genres comme le fantastique, la fantasy, la science-fiction et le roman policier. Tout au long de sa carrière, il écrit et publie plus de cinquante romans, dont sept sous le pseudonyme de Richard Bachman, et environ deux cents nouvelles, dont plus de la moitié sont réunies dans dix recueils de nouvelles. Après son grave accident en 1999, il ralentit son rythme d'écriture. Ses livres sont vendus à plus de 350 millions d'exemplaires à travers le monde et il établit de nouveaux records de ventes dans le domaine de l'édition durant les années 1980, décennie où sa popularité atteint son apogée.
Longtemps dédaigné par les critiques littéraires et les universitaires car considéré comme un auteur « populaire », il acquiert plus de considération depuis les années 1990 même si une partie de ces milieux continue de rejeter ses livres. Il est régulièrement critiqué pour son style familier, son recours au gore et la longueur jugée excessive de certains de ses romans. À l'inverse, son sens de la narration, ses personnages vivants et colorés, et sa faculté à jouer avec les peurs des lecteurs sont salués. Au-delà du caractère horrifique de la plupart de ses livres, il aborde régulièrement les thèmes de l'enfance et de la condition de l'écrivain, et brosse un portrait social très réaliste et sans complaisance des États-Unis à la fin du XXe siècle et au début du siècle suivant.
Il a remporté de nombreux prix littéraires dont treize fois le prix Bram Stoker, sept fois le prix British Fantasy, cinq fois le prix Locus, quatre fois le prix World Fantasy, deux fois le prix Edgar-Allan-Poe et une fois le prix Hugo et l'O. Henry Award. Il a reçu en 2003 le National Book Award pour sa remarquable contribution à la littérature américaine et a été décoré de la National Medal of Arts en 2015. Ses ouvrages ont souvent été adaptés pour le cinéma ou la télévision avec des fortunes diverses, parfois avec sa contribution en tant que scénariste et, une seule fois, comme réalisateur.
Source : Wikipédia
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Il publie son premier roman en 1974 et devient rapidement célèbre pour ses contributions dans le domaine de l'horreur mais écrit également des livres relevant d'autres genres comme le fantastique, la fantasy, la science-fiction et le roman policier. Tout au long de sa carrière, il écrit et publie plus de cinquante romans, dont sept sous le pseudonyme de Richard Bachman, et environ deux cents nouvelles, dont plus de la moitié sont réunies dans dix recueils de nouvelles. Après son grave accident en 1999, il ralentit son rythme d'écriture. Ses livres sont vendus à plus de 350 millions d'exemplaires à travers le monde et il établit de nouveaux records de ventes dans le domaine de l'édition durant les années 1980, décennie où sa popularité atteint son apogée.
Longtemps dédaigné par les critiques littéraires et les universitaires car considéré comme un auteur « populaire », il acquiert plus de considération depuis les années 1990 même si une partie de ces milieux continue de rejeter ses livres. Il est régulièrement critiqué pour son style familier, son recours au gore et la longueur jugée excessive de certains de ses romans. À l'inverse, son sens de la narration, ses personnages vivants et colorés, et sa faculté à jouer avec les peurs des lecteurs sont salués. Au-delà du caractère horrifique de la plupart de ses livres, il aborde régulièrement les thèmes de l'enfance et de la condition de l'écrivain, et brosse un portrait social très réaliste et sans complaisance des États-Unis à la fin du XXe siècle et au début du siècle suivant.
Il a remporté de nombreux prix littéraires dont treize fois le prix Bram Stoker, sept fois le prix British Fantasy, cinq fois le prix Locus, quatre fois le prix World Fantasy, deux fois le prix Edgar-Allan-Poe et une fois le prix Hugo et l'O. Henry Award. Il a reçu en 2003 le National Book Award pour sa remarquable contribution à la littérature américaine et a été décoré de la National Medal of Arts en 2015. Ses ouvrages ont souvent été adaptés pour le cinéma ou la télévision avec des fortunes diverses, parfois avec sa contribution en tant que scénariste et, une seule fois, comme réalisateur.
Source : Wikipédia
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" Enfants, dans leur petite ville de Derry, Ben, Eddie, Richie et la petite bande du " Club des ratés", comme ils se désignaient, ont été confrontés à l'horreur absolue : ça , cette chose épouvantable, tapie dans les égouts et capable de déchiqueter vif un garçonnet de six ans...
Vingt-sept ans plus tard, l'appel de l'un d'entre eux les réunit sur les lieux de leur enfance. Car l'horreur, de nouveau, se déchaîne, comme si elle devait de façon cyclique et régulière frapper la petite cité.
Entre le passé et le présent, l'enfance et l'âge adulte, l'oubli des terreurs et leur insoutenable retour, l'auteur de Shining nous convie à un fascinant voyage vers le Mal, avec l'une de ses œuvres les plus amples et les plus fortes. "
Vingt-sept ans plus tard, l'appel de l'un d'entre eux les réunit sur les lieux de leur enfance. Car l'horreur, de nouveau, se déchaîne, comme si elle devait de façon cyclique et régulière frapper la petite cité.
Entre le passé et le présent, l'enfance et l'âge adulte, l'oubli des terreurs et leur insoutenable retour, l'auteur de Shining nous convie à un fascinant voyage vers le Mal, avec l'une de ses œuvres les plus amples et les plus fortes. "
Bonjour, mes
créatures !
Je vous propose
aujourd’hui de découvrir mon avis sur le premier tome de « ça » de Stephen King.
J’avais vu le téléfilm dans les années 1990 et il m’avait horriblement traumatisé ! J’ai voulu donner une chance au roman, de pouvoir lire les origines de ce film à frisson.
J’ai profité de la réédition chez « j’ai lu » pour me les procurer.
J’avais vu le téléfilm dans les années 1990 et il m’avait horriblement traumatisé ! J’ai voulu donner une chance au roman, de pouvoir lire les origines de ce film à frisson.
J’ai profité de la réédition chez « j’ai lu » pour me les procurer.
Nous faisons la
connaissance de plusieurs personnages : Bill Denbrough, Ben Hanscom,
Beverly Marsh, Richie Tozier, Stanley Uris, Mike Hanlon. A eux six, ils forment
le « club des ratés ». En 1958, à Derry, des enfants disparaissent ou meurent
dans d’étranges circonstances.
Les six enfants vont alors être témoins d’évènements mystérieux qu’eux seuls arrivent apparemment voir. Le mal est tapi sous leur ville, il porte le nom de « ça ».
En 1985, les mêmes évènements se produisent à nouveau. Les six protagonistes qui s’étaient fait la promesse de revenir à Derry si les phénomènes recommençaient retournent sur le chemin terrifiant de leur enfance. « Ça » est-il réellement de retour ?
Les six enfants vont alors être témoins d’évènements mystérieux qu’eux seuls arrivent apparemment voir. Le mal est tapi sous leur ville, il porte le nom de « ça ».
En 1985, les mêmes évènements se produisent à nouveau. Les six protagonistes qui s’étaient fait la promesse de revenir à Derry si les phénomènes recommençaient retournent sur le chemin terrifiant de leur enfance. « Ça » est-il réellement de retour ?
Je suis bien contente
d’avoir ouvert ce livre, même si je dois bien avouer qu’il est d’une longueur
insoutenable.
Les personnages de Stephen King sont pourtant intéressants, même si le récit de chaque protagoniste est un peu trop long à mon goût (ce qui fait retomber le suspens), j’ai aimé découvrir leur histoire individuelle.
Bill Denbrough est un enfant bègue, toujours persécuté par la bande de Henry Bowers. Il vit un drame un an auparavant... Alors, il commence à comprendre que ce drame est certainement lié à la mystérieuse apparition de « ça ». Je n’ai pas particulièrement aimé ce personnage. Il est un peu égocentrique, se prend trop au sérieux et s’est autoproclamé très vite chef de leur « club ».
Ben Hanscom est un garçon en surpoids dont il fait constamment les moqueries des autres élèves. Il aime se réfugier dans la nourriture et les livres. C’est quelqu’un de sensible et attentionné. Il fait partie incontestablement de mes favoris.
Beverly Marsh vit avec ses parents dans un quartier pauvre. Elle est la proie constante des violences de son père. Pourtant, on lui découvre un caractère puissant et n’hésite pas à s’imposer à ceux qui l’ennuient.
Richie Tozier est également un autre personnage que j’ai fortement apprécié, notamment pour son côté humour pince-sans-rire. Il a un tempérament fort et dit toujours ce qu’il pense tout haut, ce qui lui vaut souvent des ennuis. (Il n’est pas surnommé Richie la grande-gueule pour rien).
Stanely Uris et Mike Hanlon sont assez effacés dans ce premier tome. On comprend à travers le journal de Mike (qui est resté vivre à Derry), son intérêt à garder les évènements de « ça » dans un cahier, essayant de retracer l’histoire de sa ville.
Les personnages de Stephen King sont pourtant intéressants, même si le récit de chaque protagoniste est un peu trop long à mon goût (ce qui fait retomber le suspens), j’ai aimé découvrir leur histoire individuelle.
Bill Denbrough est un enfant bègue, toujours persécuté par la bande de Henry Bowers. Il vit un drame un an auparavant... Alors, il commence à comprendre que ce drame est certainement lié à la mystérieuse apparition de « ça ». Je n’ai pas particulièrement aimé ce personnage. Il est un peu égocentrique, se prend trop au sérieux et s’est autoproclamé très vite chef de leur « club ».
Ben Hanscom est un garçon en surpoids dont il fait constamment les moqueries des autres élèves. Il aime se réfugier dans la nourriture et les livres. C’est quelqu’un de sensible et attentionné. Il fait partie incontestablement de mes favoris.
Beverly Marsh vit avec ses parents dans un quartier pauvre. Elle est la proie constante des violences de son père. Pourtant, on lui découvre un caractère puissant et n’hésite pas à s’imposer à ceux qui l’ennuient.
Richie Tozier est également un autre personnage que j’ai fortement apprécié, notamment pour son côté humour pince-sans-rire. Il a un tempérament fort et dit toujours ce qu’il pense tout haut, ce qui lui vaut souvent des ennuis. (Il n’est pas surnommé Richie la grande-gueule pour rien).
Stanely Uris et Mike Hanlon sont assez effacés dans ce premier tome. On comprend à travers le journal de Mike (qui est resté vivre à Derry), son intérêt à garder les évènements de « ça » dans un cahier, essayant de retracer l’histoire de sa ville.
Le style de l’auteur
est un peu trop « lourd » pour moi. Je vais tenter d’expliquer cela au mieux.
Stephen King a découpé son roman en plusieurs parties. Dans un premier temps,
on découvre les cinq membres du groupe dans leur vie adulte, où ils reçoivent
un appel de Mike Hanlon les prévenant que « ça » est revenu. Chacun retourne
alors dans la ville de leur jeunesse. Puis, on enchaîne sur des souvenirs d’enfance
des personnages qui sont encore une fois d’une longueur insoutenable. Chaque
chapitre se termine sur une note de suspens avec les visions du clown
Grippe-sou (je vais revenir sur lui par la suite). Après cela, l’auteur a coupé
court aux souvenirs d’enfance pour retourner dans le présent... On ne sait donc
pas comment, ils ont combattu « ça » la première fois. Dans le présent, ils
font une réunion pour parler des évènements surnaturels que Mike Hanlon a
observés dans la ville.
La seule chose qui
pique la curiosité du lecteur et nous pousse à continuer, c’est la présence énigmatique
du clown Grippe-Sou. Il prend à chaque fois une apparence différente selon la
peur des enfants. Le plus important et intéressant dans ce roman, c’est
justement la représentation de « ça ». Il est le mal et l’horreur incarnés qui
s’en prend à l’innocence. Il est la corruption de l’âme. Terré dans les
sous-sols de Derry, il est facile pour lui de se nourrir de l’abomination
humaine.
L’image même de la ville de Derry (qui se trouve être un personnage à part entière) nous démontre la violence par différents aspects : violence conjugale, homophobie, harcèlement, meurtre, etc.
Il évoque ainsi plusieurs thèmes tabou (surtout pour les années 80) pour prouver que la nature humaine crée la peur et les monstres tapis dans l’ombre.
On a qu'une vague notion sur le scénario et pour le moment aucune réponse.
L’image même de la ville de Derry (qui se trouve être un personnage à part entière) nous démontre la violence par différents aspects : violence conjugale, homophobie, harcèlement, meurtre, etc.
Il évoque ainsi plusieurs thèmes tabou (surtout pour les années 80) pour prouver que la nature humaine crée la peur et les monstres tapis dans l’ombre.
On a qu'une vague notion sur le scénario et pour le moment aucune réponse.
Pour conclure, « ça »
est plus un roman psychologique que fantastique. Même si l’on retrouve l’élément
fantastique avec l’étrange présence de Grippe-sou, cela ne nous empêche pas de
nous ennuyer au fil du récit. L’auteur a voulu trop détailler et perd quelques
lecteurs en cours de route. Personnellement, j’ai sauté des pages parce que je
m’ennuyais vraiment trop. L’intrigue est malgré cela très prenante et je lirais
bien évidemment la suite.
GLOBALE: 8 / 10
ÉCRITURE : 8 / 10
SCENARIO: 9 / 10
PERSONNAGES: 9 / 10
SUSPENS : 6 / 10
ÉCRITURE : 8 / 10
SCENARIO: 9 / 10
PERSONNAGES: 9 / 10
SUSPENS : 6 / 10
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